Google Scholar est le site gratuit d’accès à des contenus scientifiques le plus fréquenté et le plus accédé.
Elsevier est le premier éditeur de revues scientifiques.
Elsevier dispose d’une offre spécifique (ScienceDirect) et de son propre moteur de recherche (Scirus).
Pour gagner plus d’argent, Elsevier a besoin que de plus en plus de gens accèdent à ses revues dans le cadre d’une offre payante. Et elle a donc besoin que son offre d’appel (certains articles disponibles gratuitement) et l’ensemble de ses revues disposent de la meilleure visibilité possible.
Elsevier ne pouvait donc logiquement pas se passer d’un accord avec Google Scholar. Le basculement du fonds des revues Elsevier est désormais acté. La communauté des chercheurs et universitaires en sortira incontestablement gagnante. Pour l’instant.
(Via PintiniBlog)
Bonjour,
Je tiens à te féliciter pour ta sélection dans les « Blogs de com » du dernier numéro de « Stratégies ».
Pour ma part, j’analyse les crises qui frappent les entreprises et les institutions et la manière dont celles-ci y répondent sur mon Blog: http://www.decrypt-crise.com
A très bientôt
Cordialement
Yves JAMBU-MERLIN
Euro RSCG C&O
La communauté scientifique sera gagnante quand Google Scholar aura la même qualité et fiabilité de résultat que d’autres moteurs de recherche tel que Scirus. On peut toujours faire dans la quantité ; à terme, pour la recherche et le développement d’autres critères sont plus importants. Qui accepterait de bonne foi des résultats d’un prestataire dont la communication et la transparence sont, selon l’expression d’un spécialiste américain (P Jacso) du même niveau que le ministère de l’information de la Corée du Nord ?