A propos des tags et autres Folksonomies, je retombe sur cet article d’Octobre 2004 joliment intitulé "Metadata for the masses" qui (je résume) indique que la supériorité des tags au regard des autres modes d’indexation est qu’ils ne sont plus "top-down" mais "bottom-up" : on laisse les masses laborieuses tagguer à tout va, on attend un peu, on regarde quels sont les tags les plus fréquents et on se sert de ces derniers pour construire des métadonnées structurées.