C’est l’article qui a retenu mon attention dans la dernière livraison de First Monday. Après les GIS (Systèmes d’information géographiques), j’y découvre la naissance des PPGIS (Systèmes d’information géographiques publics et participatifs). L’article revient en détail sur trois de ces PPGIS : GoogleMaps, le projet CommonCensus et la construction d’un espace virtuel dans SecondLife. Où l’on voit que les cartographes professionnels se posent au sujet de ces "cartographies populaires" les mêmes questions que les bibliothécaires vis à vis des folksonomies :
- "The amateur element in cybercartography is not a trivial issue. The
simple customizable applications have allowed many programmers with no
spatial training or background to construct heavily used Web resources.
The en masse emergence of amateur cartographers may seem like
just another example of “crowdsourcing” (see Howe, 2006) but the risks
and benefits are much more dramatic than those associated with other
Internet-enabled enterprises like digital photography or Wikipedia
entries. An awareness of the value of expertise and an associated
ethical standard (http://www.gisci.org/code_of_ethics.htm)
is seen by many professionals as a necessary protection for the public
who trust spatial data and maps without cognizing key assumptions and
caveats associated with their uses."
Bientôt un code de déontologie folksonomiste ?
Notons également qu’au délà d’un amateurisme cartographique, le principal problème de ces cartographies en temps réel ou présumées telles, me semble être celui d’une géopolitique à rendu variable, telle celle que donne à voir les éternels problèmes de censure (?) concernant Google Earth et la visibilité donnée ou refusée à certaines zones sensibles. Voir à ce sujet la dernière affaire en date.
Olivier, if you are interested in practical ethics related to PPGIS/PGIS you may be interested in having a look at thios resource: http://ppgis.iapad.org/code.htm
Best regards Giacomo Rambaldi