A l’heure d’un premier bilan (10 000 éditeurs partenaires, 13 bibliothèques, plus d’1 million d’ouvrages numérisés), et à l’heure ou sort le petit livre rouge de la numérisation façon Google :
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"Il s’agit des relations entre l’université en question et le programme
Google books, auquel elle a été l’une des premières à adhérer. Peter
nous fait part de ses regrets, des "erreurs" qui ont été faites. Ses
lamentations ne portent ni sur le projet lui-même, ni sur la
participation de l’UC, ni sur les problèmes techniques ou les doutes
sur la propriété des images numérisées. Elles portent sur le rôle essentiel de médiation que, dans son
empressement à accepter la généreuse proposition qui lui était faite,
la bibliothèque a trop vite abdiqué." La suite est là, et les lamentations en question ici et là.
Il n’est peut-être pas encore trop tard à l’heure où la forêt européenne des bibliothèques se cherche d’autres Racine(s).