Le coût cognitif de la crise de légitimité de l’IST.

J'étais le 26 Novembre dernier sur Paris à l'occasion de l'anniversaire du réseau URFIST pour une journée de conférences-débats sur "30 ans d'information scientifique et technique". L'intégralité des vidéos de cette journée sont désormais en ligne. Comme la table-ronde dans laquelle j'intervenais dure plus d'une heure quinze je me suis autorisé à en extraire mes différentes prises de parole et à les mettre bout à bout. Le résultat dure 16 minutes et j'y aborde les sujet suivants (dans l'ordre) :

  • l'enjeu que constitue aujourd'hui, pour l'IST, la maîtrise des corpus de données.
  • la bascule des NTIC aux NTAD (nouvelles technologies de l'attention et de la distraction).
  • la révolution qui se joue aujourd'hui dans les classes de CP. Cours Préparatoire > Computer for Publishing.
  • la place des digital natives qui n'en sont pas.
  • la nécessité de former aux outils depuis l'intérieur des outils.
  • la question du "coût cognitif nul" de l'immense majorité des "nouveaux" outils de l'IST (folksonomies, partage, recherche d'articles scientifiques", etc.), et la possibilité / nécessité de réinvestir le temps de cerveau laissé disponible par ce coût cognitif nul. 
  • l'amour que je porte à Moodle, à sa souplesse légendaire et aux décloisonnements qu'il autorise.
  • les raisons qui font que je suis "ami" avec mes étudiants sur Facebook.
  • le journal de 13h de Jean-Pierre Pernaud.
  • les raisons de la crise de légitimité que traversent les formateurs et les professionnels de l'IST.

Voilà.

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