Une carrière universitaire tient parfois à peu de choses. Je m’étais interrogé ici sur les motivations des blogs de thèse. Ce billet de Jean-Pierre Cloutier revient sur un autre phénomène en expansion, celui des honorables membre de l’université osant pervertir leur pratique scientifique dans ce genre peu académique qu’est le blog et les risques potentiels pour leur (jeune) carrière. Les quelques exemples cités font étrangement écho aux affaires ayant défrayé la chronique blogosphérique de ces "Fired-bloggers", employés "virés" pour avoir bloggué. Bon, va falloir que je fasse attention à ma ligne (éditoriale) 😉