Non, ça ne peut pas être aussi simple de cracker Google Books ! Je veux dire de s’affranchir de la fameuse limite des "trois pages seulement" et "pas d’accès au texte intégral" … Et bien si !! (testé ce jour sur 3 ouvrages publiés en 2004, hors réeditions et hors partenariat avec bibliothèques …)**. Certains lobbies éditoriaux Outre-Atlantique vont s’étrangler d’indignation. Cela n’est pas pour me déplaire MAIS … démontre une nouvelle fois que les argumentaires Google de sont que des argumentaires de façade. Le rouleau-compresseur avance. S’ils et elles le peuvent, les droits et les lois suivent tant bien que mal, à défaut, ce sont les procédures judiciaires qui tentent de ralentir cette dynamique entretenue par tous mais ne regardant qu’elle-même. Pour la lecture des livres, c’est sûrement plutôt une bonne chose (même avec un accès au texte intégral, je défie quiconque de lire 180 pages sur écran. Vous finirez bien par l’acheter ce livre). Pour le respect de la vie privée en revanche … les argumentaires de façade n’ont évidemment pas les mêmes implications.
(Source : 3Couleurs)
** je n’ai pas rencontré les limites (indiquées en commentaire du billet source) prévues par Google au regard d’une "recherche trop générique" … ce qui ne veut pas dire qu’elles n’existent pas mais simplement que Google Books est une interface en phase de "bricolage". A moins qu’ils ne laissent volontairement quelques "failles", ce qui n’est pas à exclure mais dont je doute.
…il y a en effet des limites, au delà de la 4ème page, on affiche plus de résultats…mais on est pas obligé de lire le livre sur l’écran, il suffit d’imprimer les images des pages que vous avez visuialisées et qui sont dans votre fichier temporaire (encore une faille de google books qui interdit toute capture et toute impression en principe 😉