Les rapports entre le livre et Internet sont parfois délicats à saisir. Mais l’on essaie. Ce blog tente parfois de vous narrer de belles ou d’ambitieuses histoires de numérisation. Mais il est des faits divers livresques qui feront frémir la fibre patrimoniale enfouie au plus profond de chacun d’entre nous (si, si, cherchez bien 😉
Bonjour,
Cette remarque n’est pas à proprement parlé un commentaire de cette note, mais elle s’y applique quand même. Et puis je profite du même coup de la reprise d’activité de ton blog 😉
Alors donc voilà, j’ai remarqué depuis déjà bien longtemps que bien souvent on ne sait pas ce qu’on va trouver en en cliquant sur tes liens. Sachant que j’ai affaire à un docteur es Hypertexte, je me demandais si ce parti pris avait un fondement théorique quelconque ?
Je conçois que garder le mystère provoque un désir et favorise le clic, mais je remarque que de plus en plus (par flemme?) je ne clique plus sur tes liens (en tout cas ceux pour lesquels je n’ai aucune idée précise de ce que je vais trouver de l’autre côté).
C’est grave docteur ?
J’aimerais m’inscrire en faux contre le commentaire de Christian : ne pas savoir ce qui se cache derrière un lien m’incite à cliquer bien davantage qu’une explication redondante.
C’est là me semble-t-il le principe même de la navigation internet, où entre une part de désir de se perdre … ou du moins de se retrouver ailleurs.
(mais peut-être n’est-ce là qu’une manifestation de ma propre pathologie, pour faire écho au « c’est grave docteur ? »!)
Je passe souvent par ces pages, sans forcément laisser de commentaire, et j’ai fait grâce à vos liens de nombreuses découvertes savoureuses.