A lire sur Fabula.
- "États-Unis, Angleterre, Autriche… le mouvement international contre la marchandisation du savoir et pour la défense de l'enseignement public
n'est plus un mot d'ordre, mais bien une réalité. Les étudiants et les
universitaires français vont-ils y rester indifférents, alors que le second degré est maintenant mobilisé?Les acteurs du système éducatif français et les citoyens doivent se mobiliser massivement contre la mastérisation, mais aussi les suppressions de postes et la réforme du lycée sans oublier le Crédit Impôt Recherche, le marché de l'évaluation, la loi sur la mobilité des fonctionnaires, les primes individualisées (dont les PES), le contrat doctoral, les atteintes aux libertés fondamentales d'opinion et d'expression, les expulsions, la Lolf, la Lru, la Rgpp…"
Certes cela fait beaucoup de raisons de mobilisation. Peut-être trop. Mais entretenir plusieurs foyers simultanés de régression sociale et éducative est un exercice dans lequel l'actuel gouvernement est passé maître. Ne nous reste qu'à montrer et à exercer une nouvelle fois notre capacité de résistance.
Je serai en grève demain.