Le code, la loi, la start-up nation et le business-model de mes burnes.

Il y a des journées fatigantes. De celles où tu te demandes si la totalité de la start-up nation n'a pas monté une coalition du nimp afin d'éprouver les limites de ta patience. Hier était l'une de ces journées. 

Business Model : 1. Loi républicaine : 0

Je vous raconte. Tout commence avec la déclaration de Mounir Mahjoubi et l'annonce des "100 mesures pour les start-up". Cent mesures forcément c'est un peu long alors Mounir et sa bande en ont choisi dix pour le service de presse de la start-up nation. Et la première de ces 10 mesures est la suivante, accrochez-vous. 

"1. Le droit à l'expérimentation avec la relance du dispositif "France expérimentation", qui va encore être renforcé. Toute start-up peut demander à tout moment le droit de déroger à un règlement ou une loi en place pour déployer un business model. Le gouvernement se donne quelques mois pour donner une réponse,ce qui ne signifie pas qu'elle sera positive."

Voilà. Alors bien sûr ça démarre comme un Smoothie, tout doux, "droit à l'expérimentation". Ça continue avec ce qui est déjà devenu un mème de la Macronie, à savoir la manie reprendre des trucs qui existent déjà en faisant croire que c'est tout nouveau tout beau tout disruptif. Et puis il y a ce truc totalement hallucinant : 

"Toute start-up peut demander à tout moment le droit de déroger à un règlement ou une loi en place pour déployer un business model. Le gouvernement se donne quelques mois pour donner une réponse, ce qui ne signifie pas qu'elle sera positive."

Le dispositif "France expérimentation" existe, comme on me le faisait remarquer sur Twitter, depuis 2016. Et il indique ceci : 

FranceexpéVoilà.

Petit point sémantique : "Offrir aux acteurs éonomiques (…) la possibilité d'exprimer leurs besoins d'adaptation des normes et des procédures administratives auprès d'un interlocuteur unique et dans le cadre d'un dispositif clair et transparent" ce n'est pas du tout la même chose que de dire "Toute start-up peut demander à tout moment le droit de déroger à un règlement ou une loi en place pour déployer un business model. Le gouvernement se donne quelques mois pour donner une réponse, patati patata"

La première approche est tout à fait légitime et respectueuse du cadre démocratique, la seconde (me) donne immédiatement envie de réécouter Wagner et d'envahir la Pologne dans la foulée. 

Les gars aux manettes de la Start-Up Nation ils sont carrément en lévitation dans la stratosphère en train de demander à la déesse Shiva de rajouter du citron et un rail de coke dans leur caipirinha. Je vous le remets parce que moi j'ai dû m'y reprendre plusieurs fois pour être sûr d'avoir bien lu : 

"Toute start-up peut demander à tout moment le droit de déroger à un règlement ou une loi en place pour déployer un business model. Le gouvernement se donne quelques mois pour donner une réponse, ce qui ne signifie pas qu'elle sera positive."

C'est marrant parce qu'avec mes étudiant(e)s du meilleur DUT infocom de la galaxie, je viens justement de terminer un cours de "culture numérique" et d'essayer de les amener à réfléchir sur la hiérarchisation de ces trois machins que sont : les CGU, le code (informatique) et … la loi. Je leur ai notamment présenté les travaux de Lawrence Lessig, "Code is Law" et tout le toutim, et puis on a aussi causé des problèmes sociétaux colossaux que la concurrence du code et des CGU fait peser sur la loi dans nos démocraties et de pourquoi il faut être vigilant. Bref.

Et là sans que je m'y attende, telle la vérole sur la bas clergé et le glyphosate sur nos enfants et nos campagnes, y'a le Happiness Manager de la Start-Up Nation qui te balance tranquillou ceci : 

"Toute start-up peut demander à tout moment le droit de déroger à un règlement ou une loi en place pour déployer un business model. Le gouvernement se donne quelques mois pour donner une réponse, ce qui ne signifie pas qu'elle sera positive."

MOUNIR ! Faut que je te parle.

Mounir est-ce que vous êtes juste devenus tous totalement dingues ? Est-ce que vous avez totalement craqué sur le SpaceCake après une partie de baby-foot dans l'atrium de la start-up nation ? Mounir, sérieux, est-ce que tu ne serais pas en train de te prendre pour Moundir l'aventurier ? 

Mouniraventurier


Non parce que quand même là c'est un peu grave.

Exemple : j'ai une start-up dans les biotech sur des embryons génétiquement modifiés. Je peux donc déroger à la loi sur la bioéthique POUR DÉPLOYER UN BUSINESS MODEL ??? Sérieux ??

Mais bordel la LOI c'est pas des putains de CGU que tu modifies pour un business-model quand ça te va bien ou quand un guignol le décide en toute opacité et avec comme seul principe de précaution le fait de te croire sur parole quand tu m'expliques que "le gouvernement se donne quelques mois pour répondre" et que "cette réponse ne sera pas forcément positive" ? Sérieux ??

Mounir, la LOI c'est un cadre qui nous permet de faire société, normalement en visant – au moins dans l'esprit – à protéger les plus faibles mais certainement pas à protéger un putain de BMB (Business Model de mes Burnes).

Et d'ailleurs le droit de déroger à un règlement ou à une loi elles vont le demander à qui les Start-Up ? Au CEO du comité pour la dérogation aux lois trop chiantes pour le business model ? 

Oui non mais alors bien sûr je sais, "j'exagère", "je ne peux quand même pas nier qu'il y a des lois inadaptées", et "tiens d'ailleurs y'a cet exemple de …" Et juste STOP.

S. T. O. P. Stop. Ce genre de déclaration c'est dangereux. C'est dangereux parce ce n'est pas une éructation de salle de sport après une journée à pitcher ta Life en espérant taper le livret A de ce Business Angel qui est aussi ton beau-père. Non, ce genre de déclaration c'est dangereux parce que c'est une parole politique. Et que cette parole politique nous prépare à un nouvel épisode d'inversion de la hiérarchie des normes, autre figure bien connue de la Macronie (souvenez-vous de la Loi Travail). 

Faire évoluer la loi et les règlements est une chose et cela s'est toujours fait, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, cela s'appelait simplement du lobbying. Cela s'est toujours fait y compris dans la sidérurgie-nation ou dans l'agriculture-nation ou même avant dès la chasseur-cueilleur nation. Dès qu'il y a eu des lois en fait. Mais là c'est la première fois qu'une parole politique dit et assume l'intérêt supérieur du Business Model sur la loi et les règlements.

Alors non, non et définitivement non. En démocratie, écoute bien Mounir, on ne déroge pas à une loi pour développer un business model. Parce que la loi, Mounir, c'est, je te le répète, le ciment de la démocratie. Parce que la loi, Mounir, ça ne se négocie pas en mode "Pitch" au motif que ça t'entrave le Business Model. Si t'as le Business Model entravé par la loi ou par un règlement c'est précisément pour empêcher que ton Business Model ne devienne toxique pour toutes celles et ceux qui n'auraient pas la courtoisie et la délicatesse d'être tes clients. Ce n'est pas parce que les trois lettres de la loi composent aussi le mot Lobbying que le second doit se substituer à la première.  

Sauf en effet à vouloir acter définitivement l'empoisonnement au Glyphosate de plusieurs générations ce qui semble être l'objectif de la Start-Up Nation via cet emplâtré de Stéphane Travers aka "le salaud", et qui n'a pas du l'être – traversé – par un sens de l'intérêt collectif depuis sa première dent le lait. Mais là au moins on est dans la cohérence. La loi aurait en effet été mauvaise pour la Business Model des empoisonneurs. "Make our planet great again" et en même temps "reprenez un peu de glyphosate". A ce niveau là de Jupitérisme triomphant on est en effet davantage dans la fracture du crâne que dans l'ouverture d'esprit (comme disait mon Pierrot).    

Voilà. Et comme je n'étais pas assez énervé les gars m'ont envoyé la Momie, aka Gérard trou du cul Collomb pour m'asséner le coup de grâce. Je vous explique. A priori ça n'a rien à voir avec ce qui précède mais en fait c'est la même chose. Le double effet kiss cool de la Macronie. 

Dans la plateforme nation, l'état, c'est Facebook.

Vous vous souvenez certainement de la fonction "Safety Check" activée par Facebook d'abord dans le cadre de catastrophes naturelles, puis d'attentats, d'abord uniquement dans certains pays, puis généralisée à la planète entière. Sinon, petit rappel maison. Vous vous rappelez peut-être également de la gabegie de l'application SAIP, supposée être la réplique régalienne du Safety Check de la plateforme privée. Sinon, petit rappel maison

Et bien voilà que le même jour où on nous annonce que la loi est une entrave au Business Model, le même jour on apprend que la France (ou la start-up nation, je ne sais plus) renonce à l'application SAIP (ça c'est la bonne nouvelle) et mise tout sur Facebook et Twitter et Google

Que les services de l'état travaillent avec Facebook, Google et Twitter dans des cas d'attentats ou de catastrophes naturelles c'est très bien, et d'ailleurs c'est tellement très bien que bien sûr ça se faisait déjà avant la Start-Up Nation. De la même manière, arrêter de miser sur une application développée avec les pieds et à peu près aussi usitée que l'est la déontologie par Patrick Balkany ou l'honnêteté intellectuelle par Eric Ciotti, on ne pourra que s'en féliciter.

Mais "tout miser sur Facebook, Twitter et Google" … comment dire … ben c'est une idée à la con, une idée start-up nation (ce slogan vous est gracieusement offert par la part de Jacques Séguéla qui sommeille en moi).

Alc

D'abord parce qu'il ne faut jamais, je dis bien jamais, lorsque l'on est un état, se rendre entièrement dépendant de plateformes privées, a fortiori sur des questions qui touchent quand même, excusez du peu, à des questions de protection des populations civiles et donc par extension de sécurité nationale. Dis comme ça on a l'impression que c'est une évidence, mais il va devenir urgent et nécessaire de rappeler certaines de ces évidences parce qu'à les regarder s'agiter depuis un an dans ce gouvernement, si on mesure le taux de YOLO qu'ils ont dans les veines on va avoir l'impression de lire le taux de Gamma GT dans la dernière prise de sang de Jean-Vincent Placé.  

Alors bien sûr l'application SAIP ne marchait pas. Mais primo elle était aussi perfectible qu'elle était mal pensée et mal développée, ce qui n'est pas peu dire. Deuxio il existe des alternatives qui ont fait leurs preuves comme la diffusion cellulaire (envoi de SMS). Et tertio même si avoir une vraie stratégie d'appui sur les médias sociaux ou les moteurs de recherche est évidemment nécessaire, ceux-ci ne peuvent en aucun cas se constituer comme les supplétifs exclusifs de fonctions régaliennes. Et si vous pensez le contraire, alors je me permets de vous inviter à relire attentivement ce que j'écrivais ici.

Par ailleurs je passe mon temps à expliquer à mes étudiants que pour mesurer notre niveau d'aliénation ou de dépendance à une technologie, et donc sa potentielle toxicité, il faut imaginer ce que nous ne pourrions plus faire sans cette technologie. Et au regard de ce qu'ils m'écrivent ensuite dans leurs copies je crois pouvoir affirmer qu'ils pigent assez bien l'idée. Donc expliquez-moi juste ce qui se passe le jour où, pour une raison ou pour une autre, Facebook cesse d'accorder au ministère de l'intérieur l'accès à la page Safety Check. Quel. Est. Le. Putain. De. Plan. B. ????

D'autant que j'apprends ce matin sur France Inter que cela ne s'arrêtera pas là et que différents services de l'état pourront utiliser Google, Facebook et Twitter pour les incendies, les cyclones, etc … Des dingues je vous dis.

Mais il y a pire. Bah oui. Parce que figurez-vous que pour l'instant parmi le peu de choses que l'on sait de cette affaire il y a notamment ceci

"Le ministère de l'Intérieur pourra désormais intervenir directement sur la page de cette fonction (Safety Check) qui permet aux utilisateurs du réseau social de signaler à leur entourage qu’ils sont en sécurité en cas d’alerte proche de leur position géographique."

Heu … quoi ? Pardon ? Non parce que, rappel, "le ministère de l'intérieur" c'est lui

Collomb

Et là déjà rien que ça je sais c'est super flippant.

Donc "lui" pourra intervenir directement sur la page du Safety Check de Facebook. Quand ? Comment ? Pourquoi ? Dans quel cadre ? Avec quelles possibilités réelles ? Avec quel accès aux données disponibles ? Collomb dans Facebook en mode admin c'est un peu comme Morano aux commandes d'une mission diplomatique en zone de guerre.

Alors moi en tant que citoyen, et là je ne déconne plus du tout, je veux connaître exactement et précisément les termes de cet accord entre le ministère de l'intérieur français et le ministère de l'intérieur de nos têtes mondial (= Facebook) puisque c'est quand même un peu de ma sécurité (et accessoirement de ma surveillance) dont on parle. Et que même si à titre personnel je n'ai pas voté pour cette bande de tristes sires je ne nie pas leur légitimité démocratique, laquelle légitimité comprend la nécessité de m'éclairer sur les choix supposés garantir ma liberté et ma sécurité (dans cet ordre là, l'ordre c'est important hein mon gégé).

Alors débrouillez-vous comme vous voulez, faites une commission parlementaire, saisissez les instances administratives compétentes, montez une start-up disruptive, invoquez les déesses de la fertilité et du lean management, mais donnez-moi la totalité des termes de cet accord entre un gouvernement élu et cette version post-moderne de la Stasi sur des questions de sécurité quotidienne, et expliquez-moi comment les risques de dérives sont prévus et encadrés. Sinon non seulement je vais devenir réellement parano mais en plus je risque de faire des émules. 

Bon maintenant je vous la remets dans l'ordre.

La start-up nation. L'état plateforme. Mounir le Hapyness Manager qui trouve qu'il y a des lois qui ne sont pas très bonnes pour le business model, et Gérard qui nous fait une fuite urinaire à l'idée d'aller tripatouiller dans le Safety Check de Facebook comme un adolescent qui aurait enfin découvert comme lutter contre l'excès de sébum. Mais. Putain. Au. Secours. Je. Suis. En. PLS.

Le Business Model est au-dessus des lois. Et si ce n'est pas le cas, y'a qu'à supprimer les lois. Et rajouter pour rassurer les inquiets dans mon genre qu'on se donnera "quelques mois pour apporter une réponse" et qu'elle ne sera "pas forcément positive". Et ben perdu, ça ne me rassure pas, mais alors pas du tout. 

Le vrai état plateforme c'est Facebook. Les vraies fonctions régaliennes de réassurance en cas d'attentat ce sont Facebook, Google et Twitter qui les assurent, donc plutôt que de se poser la question des problèmes que cela pose, et plutôt que d'essayer de penser la manière de s'affranchir de ce qui est déjà en train de devenir une dépendance coupable, on n'a qu'à leur laisser le marché et se féliciter qu'ils nous accordent un accès "pour intervenir directement sur la page de cette fonction". Voilà. 

A ce moment-là de mon raisonnement est-il vraiment utile que je te fasse un dessin de tout ce à quoi tu peux accéder en termes de données lorsque tu peux intervenir directement sur cette page et de pourquoi c'est ultra-flippant a fortiori quand c'est la Momie qui pilote le ministère de l'intérieur de son patronyme qui est aussi un organe défécatoire ?  

Qu'ils aillent Uberiser des bites en enfer ou disrupter leurs mamans

mais qu'ils foutent la paix aux autres et à la démocratie.

Il y a longtemps que Stiegler explique brillamment pourquoi la "disruption" est avant tout une stratégie de tétanisation de l'adversaire et ce qui fait "que vous arrivez toujours trop tard". La disruption explique encore Stiegler, ce sont "des stratégies pour prendre de vitesse ses compétiteurs et ses régulateurs". Et voilà très exactement de quoi relève le projet politique porté par Macron avec Mounir l'aventurier en première ligne et Collomb en back-office. Prendre de vitesse les régulateurs. Parce que la régulation n'est jamais bonne pour le Business Model. 

Il ne faut jamais sous-estimer un adversaire. A fortiori lorsqu'il a fait de la disruption son système de pensée unique et qu'il cherche en permanence à prendre de vitesse les régulateurs. Je m'apprêtais à mettre un point final à cet article quand on attira mon attention sur la tribune que 50 juristes, économistes et chercheurs signent ce jour dans Le Monde et qui est, je cite :

"un appel à subordonner juridiquement, dans la Constitution, la défense de la liberté d’entreprendre et de la propriété privée à la défense de l’intérêt général."

"Subordonner juridiquement la défense de la liberté d'entreprendre et de la propriété privée à la défense de l'intérêt général". C'est à dire très exactement l'antithèse de la possibilité de "demander à tout moment le droit de déroger à un règlement ou une loi en place pour déployer un business model". Voilà les deux modèles et les deux projets de société qui s'opposent aujourd'hui. 

Les auteurs de la tribune demandent une chose simple, une simple précision constitutionnelle au sein de l'article 34 de ladite constitution. Précision qui dirait ceci

"La loi détermine les mesures propres à assurer que l’exercice du droit de propriété et de la liberté d’entreprendre respecte le bien commun. Elle détermine les conditions dans lesquelles les exigences constitutionnelles ou d’intérêt général justifient des limitations à la liberté d’entreprendre et au droit de propriété."

Que la loi détermine les situations dans lesquelles l'intérêt général justifie des limitations à la liberté d'entreprendre et au droit de propriété. Et à tous les putains de Business Model de mes burnes. 

 

9 commentaires pour “Le code, la loi, la start-up nation et le business-model de mes burnes.

  1. Bonjour
    Merci pour le blog.
    Si je comprends bien :
    – si tu n’as pas de smartphone
    – avec data
    – avec les applications de réseaux sociaux actives
    Tu ne pourras pas être notifié d’un attentat
    pour te mettre à l’abri
    J’ai vraiment bien compris ?

  2. Bonjour,
    J’ai envie de vous dire de la part d’un pays (certes sous une autre mandature) qui prévient (parce que c’est la règle) le Conseil de l’Europe qu’il va déroger à la Convention européenne des droits de l’homme (et ceux plusieurs fois jusqu’au 01/11/2017), ma foi, ça reste dans la même logique, quelque soit la motivation initiale.
    Et en même temps, si une telle convention prévoit des possibilités de dérogation sur l’application des droits de l’homme, pourquoi se priverait-on de le faire pour d’autres choses…
    Merci pour vos articles toujours très éclairants sur l’actualité

  3. Tu peux demander à tout moment de déroger à la loi, après avoir bien sûr, attendu la réponse à ta demande, et non pas simplement, tu peux déroger à la loi à tout moment…

  4. Merci pour l’article mais je suis partagé sur le champ lexical utilisé. Certes il appuie le propos mais il fait rugir le firewall de mon institut plus qu’une vulgaire requête d’adolescent prépubère. J’en suis à activer un VPN pour vous lire!!!
    En même temps je ne sais pas si c’est le terme « bite » ou « collomb » qui pose problème…

  5. bonjour,
    sympa ton slogan :
    une idée à la con ?
    une idée start-up nation !
    mais c’est une superbe idée qu’il nous a eu là, gégé
    alors que la mise en application du rgpd n’a pas une semaine…

  6. Admiratif sur l’analyse pédagogique de ce qui nous attend ! En même temps, tu es enseignant-chercheur 🙂 Mille soutiens à ton propos !!!

  7. Excellent texte! Le premier point soulevé est tout simplement terrifiant et ne semble malheureusement soulever que des réactions très éparses… Autre chose : attention le lien vers l’article du Fig’ est brisé, il faut enlever tout ce qui est après php.

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