Culture numérique en quelques tweets.

Comme l'année dernière, j'ai demandé à mes nouveaux étudiants de la licence pro "Community Manager" de bâtir un thread Twitter sur l'un des thèmes abordés dans le cadre de mon cours de "Culture Numérique". La consigne était également la même, c'est à dire utiliser au maximum les codes de l'écriture Twitter (hashtags, mentions, gifs rigolos, etc.) et nourrir son Thread avec un maximum de sources documentaires en ligne (articles, vidéos, infographies, images, etc.)

Et comme l'année dernière, les résultats s'étalonnent du "très sympa" à "Oh mais oui c'est super bien". Donc comme l'année dernière, je partage 🙂

Catégorie "Oh oui mais c'est vraiment très très très bien".

• Emilie C. nous parle de 4 Chan, qui est, je cite "tour à tour première famille d'internet, sphincter du web ou bastion des défenseurs de la liberté d'expression." Enjoy. 
• Simon C. s'est penché sur le cas Snowden et les lanceurs d'alerte. 
• Nicolas C. s'est plongé dans les communautés de fans. 
• Stéphane B. s'en est allé débunker des Fake News. 
• Romain C. a planché sur les mèmes. Et c'est très intéressant (même s'il s'est trompé et a tout le temps écrit "même" au lieu de "mème").

Catégorie "C'est très bien et c'est déjà très bien".

• Arnaud S. nous parle de la création du Web.
• Morgane H. a choisi l'identité numérique et l'hégémonie du paraître.
• Miguel H. attaque sur la question des GAFAM en prenant l'angle de la chute de Yahoo! pour démontrer que rien n'est jamais acquis et que quelques mauvais choix peuvent suffire à enterrer une entreprise pourtant culte.
• Mathilda P. s'est intéressée à nos biais cognitifs. 
• Léo G. a fait le choix de regarder ce qui se passait en termes d'intelligence artificielle du côté de Google.
• Luc H. s'est intéressé à "l'effet cigogne", autrement dit à ce biais cognitif qui nous amène à confondre causalité et corrélation.
• Marion L. nous parle des questions de modération de contenus sur les grandes plateformes sociales à partir du documentaire "The Cleaners".
• Elise L. revient sur une vieille histoire mais Ô combien emblématique de l'économie dématérialisée et de ses abus : l'histoire de la suppression par Amazon de versions numériques dûment acquittées de la ferme des animaux et du 1984 de Georges Orwell.
• Camille O. a relu l'intégralité de l'encyclopédie Universalis pour mieux nous parler de Wikipedia.
• Emilie V. ne s'est pas laissée influencer par la vie des influenceurs.
• Léa F. a creusé du côté de Jeff Bezos et d'Amazon.
• Antoine B. s'est également intéressé à l'histoire du web, essentiellement au prisme de celle des GAFAM.
• Lucas C. a choisi de parler de la "toxicité" en ligne. Des comportements toxiques en fait. 

Bravo à tous et toutes pour ce boulot. Et si vous cherchez des CM efficaces et pertinents pour leur offrir un boulot de rêve, vous avez déjà leurs comptes Twitter 🙂