Tout va trop vite pour un billet d’analyse 🙁 alors juste un billet de signalement pour ce soir 🙂
- Du côté de Google, on continue de s’activer et de s’attacher les services de 5 bibliothèques catalanes, continuant ainsi sa conquête de la culture/langue espagnole, qui, ne l’oublions pas, est aussi celle la plus parlée aux Etats-Unis … (1).
- Du côté des bibliothèques, la British Library est sans aucun doute la plus maligne puisque capable de s’attacher aussi bien les services de Google que ceux de ses rivaux (MSN & Yahoo via l’OCA) et propose maintenant son propre service de numérisation aux éditeurs. (2) Un exemple à suivre … Sinon, d’autres s’en chargeront avec plaisir. D’ailleurs ils ont déjà commencé.
- Côté Auteurs/Editeurs/Libraires … rien ne va plus …
- Amazon plonge les libraires (indépendants) dans la tourmente,
- interpellés (par les libraires), (certains) éditeurs s’expliquent,
- des auteurs sortent (enfin …) de leur silence (lire aussi et surtout les commentaires du billet),
- d’autres auteurs, moins silencieux, se décident à devenir leur propre libraire en attendant que la librairie indépendante se dote d’un portail et d’une politique commune (Pfouuuuuuu. Va falloir un deuxième tome :-) …
- laquelle attitude (de l’auteur devenu libraire) est approuvée par les bibliothécaires
- pendant que d’autres bibliothécaires (re)mettent les données de leur catalogue ("dataset") en ligne sous licence creative commons (3). Un million de références du MIT. Qui c’est qui va être content de pouvoir intégrer toutes ces belles données 🙂 ?
(1) : via l’Atelier, voir aussi sur BibNum,
(2) : via Youplaboum
(3) : via Catalogablog