J’étais donc hier à la journée organisée par les URFISTs sur le thème de l’évaluation et de la validation de l’information, ravi de retrouver mes anciens camarades de jeu (même si on n’a pas vraiment eu le temps de causer, vu le planning serré). Succès sur toute la ligne pour les organisateurs au vu du taux de remplissage de l’amphi Poincaré du Ministère de la recherche (comble), de l’éventail des thèmes abordés, et de la qualité des interventions et des débats (même si l’après-midi aurait amplement mérité une respiration caféino-nicotinique). Pour tous ceux qui n’avaient pas pu s’inscrire faute de place et pour tous les autres également, une séance de rattrapage vidéo intégrale est toujours possible (les vidéos sont apparemment en cours de montage, et devraient être rapidement disponibles). De mon côté j’étais invité à causer sur le thème de "la communauté comme indexeur". Ma présentation est disponible : Téléchargement journeeurfist.ppt. C’est assez elliptique, mais vous pouvez toujours approfondir en parcourant la rubrique "Folksonomies" de ce blog, en attendant de lire l’article correspondant à la présentation (en cours de rédaction …). Les autres interventions (et articles) seront également mis en ligne sur le blog de la journée.
Au passage, j’ai comme d’habitude récolté quelques cartes de visite pour ma collection personnelle, et surtout, surtout, une bonne dizaine de demandes de formation dans divers organismes (universités, formations licence, centres de documentation, IUFM, etc…) De quoi faire vivre (chichement) un consultant sur ces questions. Mais peut-être suis-je également demandé parce que je suis moins cher qu’un consultant 😉 Invitations que je ne pourrai malheureusement pas toutes (loin s’en faut) honorer, à moins de me reconvertir en VRP de l’IST (ce qui n’est ni ma vocation, ni mon métier) ou de délaisser ma famille et mes étudiants. Mais cette demande, ce besoin avéré en formation souligne à quel point le rôle des URFISTs comme organismes relais de formation de formateur est ESSENTIEL, combien également on serait bien inspiré de pouvoir multiplier leur nombre (7 actuellement, comprenant chacun 2 personnes à temps plein, 1 maître de conférences et un conservateur, sans compter le -vital- secrétariat et le passage de quelques -vitaux également- stagiaires/doctorants/contractuels ). Une vingtaine donc d’évangélisateurs atitrés de l’IST pour l’ensemble du territoire national, ça laisse effectivement du champ aux consultants. Mais les universités et leurs formations ou leurs composantes n’ont pas toutes les moyens de s’offrir les services desdits consultants.
Mais moi ce que j’en dis …
Compte-rendu de la journée par OlivierErtzscheid
sur Affordance, dont jextrais la fin:
Au passage, jai comme dhabitude récolté quelques cartes de visite pour ma collection personnelle, et surtout, surtout, une bonne dizaine de demandes de formation dans divers organisme…