Le web 3.0 sera portable

Petit, je me souviens d’une blague qui me faisait bien rire (soyez indulgent, j’avais 6 ans) : ça donnait à peu près ceci : "Combien d’éléphants peut-on mettre dans une 2CV ?" Réponse : "Quatre. 2 devant et 2 derrière." (j’avais prévenu …). Et si maintenant je vous demande : "Combien de TéraBits d’information on peut faire entrer sur une carte SIM de téléphone portable ?". Réponse : "Autant qu’on veut". Ils sont sur Internet et ils y restent. Mais …
Un moteur de recherche, l’accès à son courier électronique, la météo de sa région et l’évolution en temps réel de ses stocks-options (pour ceux qui en ont), ses fils RSS préférés, les films à l’affiche ce soir dans le quartier. Et puis tiens, tant qu’on y est, les derniers titres de la presse quotidienne. Et la possibilité de trouver la pharmacie la plus proche de là où l’on se trouve, avec ses horaires d’ouverture et pourquoi pas une consultation en ligne de ses tarifs et des médicaments disponibles en cas de soudain mal de tête, grâce à la magie du GPS. Le tout … le tout sur un écran de téléphone portable. Soit, dit autrement, 8 milliards de pages, 340 MégaBits de courrier électronique (taille actuelle de ma boîte mail), deux ou trois mille billets syndiqués, plus tout le reste … sur une carte SIM. Vous avez dit la fin des disques durs ? Ahhhhhhh, la magie du micro-design au service de micro-contenus … C’est déjà demain. Va falloir suivre de (très) près les évolutions du web portable selon Google. Yahoo! a aussi son avis sur la question

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